La tendance du slow flower est née d’un constat négatif pour l’environnement : en France, la très grande majorité des fleurs vendues chez les fleuristes et les professionnels du secteur sont importées et proviennent directement de l’étranger. On estime à environ 9 sur 10 le nombre de fleurs coupées hors de nos frontières et distribuées sur le marché français.
Afrique de l’est, Pays-Bas, Amérique latine… venants souvent de loin, les végétaux qui ornent nos intérieurs et nos jardins ne sont plus cultivés chez nous. Résultat ? Le transport des fleurs a un impact environnemental, on perd peu à peu la notion de fleur de saison et le nombre d’entreprises d’horticulture dans l’hexagone a chuté ces dernières années.
Heureusement grâce au « Slow flower », il est désormais possible d’agir contre cette mondialisation grandissante et de contribuer au retour des fleurs de saison !