L’histoire est relativement simple et date de ma plus tendre enfance. J’habitais dans une petite ville de province, en Normandie, et mon premier flirt était la fille d’un fleuriste (rires). Et ce monsieur avait l’habitude d’engager la famille quand il y avait des pics d’activité. Un jour il a eu la gentillesse de me demander de venir, j’ai trouvé ça assez sympa. Au fil du temps je suis resté en contact avec ce monsieur et j’ai continué, même pendant ma vie professionnelle, à m’intéresser aux fleurs, à y faire toujours attention. Puis lorsqu’il a fallu faire un nouveau choix de carrière, je n’ai pas hésité. Ce ne fut d’ailleurs pas un choix de reconversion mais plutôt un choix de plaisir. Mon seul souci c’était de faire quelque chose qui n’était plus en relation avec ma vie d’avant et de trouver une expérience agréable.
Alors simple amateur éclairé, j’ai voulu passer le CAP Fleuriste pour acquérir l’ensemble des savoirs nécessaires au métier, mais aussi avoir la reconnaissance du milieu. Un challenge atteignable mais pas gagné d’avance. Donc je me suis rapproché de votre école et tout ce que je peux dire aujourd’hui c’est que ça s’est très bien passé. La partie théorique était assez dense mais ça m’a vraiment passionné. Puis pour la partie pratique, j’ai eu la chance de pouvoir rencontrer votre professeure Sylvie Chardon. Au-delà d’être une personne exceptionnelle, c’est quelqu’un de très talentueux.